• Cancer : les remèdes interdits

     

    Cancer : les remèdes interdits VOST (extrait)

    (Renée Caisse, Harry Hoxsey)

     

     Réalisé par Massimo Mazzucco et sortie en 2010

     

    Dans ce documentaire intitulé « Cancer: Les remèdes interdits » nous découvrons de nombreuses formes de remèdes et de traitements contre le cancer très efficaces qui ont été supprimées et discréditées depuis longtemps par le syndicat du crime pharmaco-médical et une organisation appelée FDA.

    Au cours des 100 dernières années, des dizaines de médecins, de scientifiques et de chercheurs ont mis au point des remèdes contre le cancer les plus diverses, apparemment efficaces, mais aucun de ces remèdes contre le cancer évidemment efficaces n’a jamais été sérieusement pris en considération par la médecine officielle. Pourquoi? L’ARGENT!!!

    Comprenez que le cancer est un gros business. L’industrie du cancer ne dépense pratiquement rien de ses ressources de plusieurs milliards de dollars en stratégies de prévention efficaces, telles que les recommandations alimentaires, l’exercice et l’éducation sur l’obésité. Au lieu de cela, elle injecte son argent pour traiter le cancer, pas pour le prévenir ou le guérir.

    Pourquoi ils tireraient sur leur vache à lait? S’ils peuvent garder la Machine du Cancer bien huilée en fonctionnement, ils vont continuer à faire des profits énormes sur les médicaments de chimiothérapie, la radiothérapie, les procédures de diagnostic et les interventions chirurgicales.

    Le patient cancéreux typique dépense 50 000 $ dans la lutte contre la maladie. Les médicaments de chimiothérapie sont parmi les plus chers de tous les traitements, beaucoup allant de 3000 $ à 7000 $ pour un approvisionnement d’un mois.

    Si l’industrie du cancer permet un remède, alors leur base de patients disparaît. Il est plus logique de garder un flux régulier de patients cancéreux en vie, mais malades et en redemandant. Comment ce monstre sociétal est-il né?

    Le documentaire présenté est extrêmement instructif. Il détaille la façon dont l’industrie pharmaceutique a établit un partenariat avec l’American Medical Association (AMA) dans un plan ingénieux pour submerger le système médical en quatre mesures rapides et faciles, au début des années 1900.

    Voir un Article qui en parle très bien : advitae.net

     

     

    Cancer : the forbidden cures VO (full version)

    (Renée Caisse, Harry Hoxsey, Max Gerson, Ernest Krebs)

     

    Directed by Massimo Mazzucco and released in 2010

     

     

    Cancer claims the lives of thousands of Americans every day, but it also results in tens of billions of dollars in revenue for the medical and pharmaceutical industries. Why would these industries champion a cure for the disease when they enjoy such stratospheric profits in its treatment? This is the premise of the documentary titled Cancer: The Forbidden Cures, a cynical indictment of medical establishment ethics.

    The film opens with a rudimentary examination of the disease, including how it develops and spreads in the human body, and the damage it inflicts along the way. The filmmakers' main focus lies in the three mainstays of modern cancer treatment - surgery, chemotherapy and radiation. Their points of view on each of these options are damning. Chemotherapy alone is a toxic compound that has been shown to produce severe illness, diminished immune system capabilities and cognition malfunction. Meanwhile, many suspect that prolonged exposure to radioactive therapies can inspire the same cancers they're employed to treat. Are these really the best solutions we have at our disposal?

    Leaders in the field of oncology over a hundred years ago prescribed a treatment regimen that was largely free of toxicity and heavily reliant upon nutritional value. The film contends that all of this changed when the wealthiest members of society began making sizable donations to medical universities in exchange for placement on their boards. The financial prospects of cancer treatment started to outweigh humanitarian concerns almost overnight, according to the film's interview subjects. Drug companies prospered, the cost of additional treatment resources such as radium doubled many times over, research dollars were devoted to pharmaceutical endeavors instead of those aimed at finding a cure, critics within the medical community were discredited as "quacks", and promising alternative therapies were never given an opportunity to succeed.

    The filmmakers seem too eager in their willingness to endorse those who claim to have discovered the next miraculous alternative therapy. Largely absent are the voices of those who work tirelessly and with great compassion to defeat the scourge of cancer in our lifetime, and do so while operating within the confines of the same medical establishment the film criticizes. Still, the film's premise of rampant greed working to impede the tides of true progress is valid and worthy of exploration.

     

     

     


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